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Grégory – ingénieur software

Grégory

SOFTWARE ENGINEER

« J’AI FAIT MA PREMIÈRE MISSION AVEC KICKMAKER ET JE ME SUIS TRÈS VITE INTÉGRÉ À LA COMMUNAUTÉ »

GRÉGORY, UN SENS DE L’HUMOUR SINGULIER ET MALICIEUX COUPLÉ À LA RIGUEUR D’UN INGÉNIEUR MATHEUX.

Comment es-tu arrivé chez KM ?

 

J’ai fait une prépa maths-physique puis j’ai intégré l’école des Mines de Paris. J’y ai choisi l’option robotique et maths appliquées, ayant développé petit à petit une fascination pour l’intelligence artificielle. Je trouve génial de voir les maths à l’œuvre pour résoudre des problèmes concrets ou donner vie à une machine.

J’ai eu plein de passions bizarres dans ma vie mais en ce qui concerne la programmation, je m’y suis mis progressivement dès le collège, d’abord en Basic, puis JavaScript, PHP, C++, je me suis même un peu essayé à l’assembleur. Je trouvais génial de comprendre comment fonctionne la technologie, de ne pas dépendre entièrement de la compréhension d’autrui. Par la suite je me suis passionné pour les maths.

J’ai ensuite rejoint Aldebaran Robotics au moment du rachat par le groupe Softbank. Nous avons planché pendant deux ans sur le robot Pepper. Chaque mois il devenait plus autonome, c’était fort !

J’y suis resté 6 ans au total, évoluant vers la gestion de projet puis le management, avant de revenir vers la technique pour m’établir en expert indépendant et rejoindre la communauté Kickmaker.

Que fais-tu chez KM ?

 

Lorsque j’étais manager chez Softbank Robotics, j’ai engagé des talents Kickmaker dans mon équipe. Comme il y avait une bonne entente, il était logique de garder contact ! J’ai fait ma première mission avec Kickmaker et me suis très vite intégré à la communauté.

J’ai d’abord adapté le logiciel d’un automate d’analyses médicales pour une nouvelle gamme de produits avec plus de bras (donc plus de… cadence de mesure, tout n’est pas affaire de chocolat).

Actuellement je développe les algorithmes de navigation dans une startup robotique (j’aide le robot à se repérer et à ne pas rentrer dans les gens et le mobilier, en somme). Ça implique pas mal de maths et d’algorithmie, jointes à des problématiques de développement de code pérenne en production, c’est passionnant !

Plutôt entrepreneur ou maker ?

 

Entrepreneur, je le suis en tant qu’indépendant.

J’ai un Arduino Mega chez moi et quelques composants électroniques mais je manque de temps pour terminer mon projet de télécommande infrarouge connectée (j’aimerais notamment allumer ma chaîne hifi depuis mon ordinateur).
D’ordinaire je fais des projets plutôt software, j’ai par exemple développé une aide à la résolution de Rubik’s cube avec visualisation en 3D, un solveur de sudoku, un générateur aléatoire de mots qui pourraient être français.
Je ne sais pas ce que je ferai dans dix ans ou même cinq ans, le monde est en permanente évolution et moi aussi. J’ai l’envie d’entreprendre, de mettre en branle des choses positives et utiles. Je pense être dans une phase de maturation : j’apprends des techniques, j’absorbe des idées et je réfléchis sans me presser à mon futur projet

Pourquoi avoir choisi l'industrialisation ?

Je suis un peu une exception chez les kickers, étant plus orienté algos et développement de logiciel embarqué haut-niveau. Mais ayant fait mes armes dans l’industrie robotique, j’ai clairement une sensibilité accrue pour l’industrialisation.

Principales missions

RECHERCHE

Il faut analyser le brief, comprendre ce qu'on va devoir intégrer ou aider à définir le besoin du client en fonction de ce qui est réalisable ou non.

FABRICATION

On peut réaliser un ou plusieurs prototype. Lancer ou superviser une fabrication en série.

VALIDATION

Réalisation de tests ou d'essais pour vérifier la tenue du cahier des charges puis faire valider le produit "fini" par le client.

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